Derrière la citerne
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Re: Derrière la citerne
Visiblement, le discret hochement de tête d'Alice ne fut pas une réponse satisfaisante ou en tout cas suffisante. Tahiti, pourtant sur le point de s'en aller, revint à la charge vers l'infirmière au regard franchement interrogateur... et lui passa le bras autour de la taille... avec la ferme intention de l'embrasser à pleine bouche !
L'imagination d'Alice tournait à plein régime pendant la manœuvre de sa patiente, comme si elle espérait expliquer la situation... Au début, elle se demanda si elle avait oublié quelque chose, puis elle supposa, sans grande conviction, qu'elle voulait l'inviter dans une danse de remerciement... puis l'évidence s'imposa alors que Tahiti, les yeux clos, la bouche en cœur, approchait ses lèvres des siennes avec assurance...
La réaction ne fut que pur réflexe, motivé par un dégoût et une répulsion certains. La main d'Alice vint se refermer sur la gorge de la junkie pour la maintenir à une distance raisonnable, voire croissante si possible, plus que pour réellement l'étrangler, mais le résultat était là tout de même : la Gardienne retenait fermement et loin de son visage son aggresseuse par le cou sans vraiment s'inquiéter de ce qu'elle puisse respirer, et, les doigts crispés, elle ne semblait pas vouloir la lâcher de peur qu'elle termine son geste, ce qui ne lui seyait nullement !
L'imagination d'Alice tournait à plein régime pendant la manœuvre de sa patiente, comme si elle espérait expliquer la situation... Au début, elle se demanda si elle avait oublié quelque chose, puis elle supposa, sans grande conviction, qu'elle voulait l'inviter dans une danse de remerciement... puis l'évidence s'imposa alors que Tahiti, les yeux clos, la bouche en cœur, approchait ses lèvres des siennes avec assurance...
La réaction ne fut que pur réflexe, motivé par un dégoût et une répulsion certains. La main d'Alice vint se refermer sur la gorge de la junkie pour la maintenir à une distance raisonnable, voire croissante si possible, plus que pour réellement l'étrangler, mais le résultat était là tout de même : la Gardienne retenait fermement et loin de son visage son aggresseuse par le cou sans vraiment s'inquiéter de ce qu'elle puisse respirer, et, les doigts crispés, elle ne semblait pas vouloir la lâcher de peur qu'elle termine son geste, ce qui ne lui seyait nullement !
Alice Darell- Messages : 199
Date d'inscription : 27/11/2008
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